Un nouvel exemple "d'art de la rue", qui réussit à conjuguer qualité esthétique et sens de la communication. Angle Renard/Saint-Merri (IVe). (photo VlM)
On a un peu de mal toutefois à identifier le personnage qui est livré au suplice : s'agit-il de Jésus-Christ ou de Ravaillac ? Les Grecs opteront sans doute pour le premier mais la mise en scène évoque davantage l'écartèlement que la crucifixion ....
L'image est belle en tout cas. Elle ne va pas, évidemment, au fond des choses, car il faudrait aussi suggérer pourquoi ce malheureux en est arrivé là. Mais quoi qu'il ait fait, nous sommes tous d'accord, il ne mérite pas le traitement fatal qui lui est réservé.
Gérard Simonet