Pauline Feracci et Magali Albertini en concert le 17 novembre 2017. Thibault de Damas a été choisi pour donner la réplique à Pauline Feracci dans les duos célèbres qu'ils interprèteront ensemble.
Le fort succès de la première édition des "Moments Lyriques du Marais ®" en novembre 2017, nous invite en association avec "Culture & Patrimoine" à renouveler notre rencontre autour du chant lyrique, pour "un grand moment de bonheur partagé" avec des lauréats de concours de classe internationale. Nous avons le plaisir de vous convier à notre :
Deuxième concert-récital de chant lyrique
sur le thème : "Grands Airs et Duos d'Opéras"
le 3 mai 2018 à 20h30 en l'église des Blancs-Manteaux
Une visite privée de la fondation d'entreprise Galeries Lafayette a été organisée ce jeudi 8 mars à l'invitation de Guillaume Houzé, président de "Lafayette Anticipations".
C'était à la fois l'inauguration du bâtiment du XIXème rénové par l'architecte Rem Koolhaas et le "vernissage" de l'exposition "The silence of the sea" de l'artiste Lutz Bacher.
Il convient de parler entre guillemets de "vernissage" car l'objet de l'exposition réside dans la projection d'un film des bords de mer au Cap Ferret avec amplification du bruit du vent et des vagues, tandis que le visiteur chemine sur une tapis épais de paillettes argentées.
Plage autour du Cap Ferret et les restes de blockhaus de protection de la côte atlantique. Extrait du film projeté.
Le bâtiment quant à lui se dresse sur quatre étages dont chaque niveau est sur le même modèle. Les volumes sont modulables grâce à des planchers mobiles qui permettent de modifier les volumes.
On se souvient que Rem Koolhaas avait postulé pour le réaménagement des Halles et que son projet, hérissé de "derricks" colorés devant Saint-Eustache, n'avait pas suscité l'enthousiasme du public et de l'Hôtel de Ville qui lui ont préféré David Mangin. Ce dernier ouvrage est plus discret et correspondra, espérons le, à la destination qu'en a voulu la fondation.
Sacha LIN, chargé du pôle "citoyens" à l'ACRF (photo VlM)
Nous connaissons tous ce local qui fait penser à une ruche tant il bourdonne d'activités, au 43 rue du Temple (IVe), siège de l'ACRF (association des chinois résidant en France) où des Chinois vivant et travaillant en France côtoient des Français d'origine chinoise de la première à la troisième génération. Sacha LIN s'occupe de ces derniers. Il appartient lui-même à la deuxième génération. Sa famille vit en France et tient le restaurant Hoa Tong, 35 rue Beaubourg (IIIe), qui s'est spécialisé dans les banquets, mariages et autres réunions de famille. Les clients ordinaires y sont également bien reçus.
Nous avons évoqué le nouvel an chinois, nouvel an lunaire ou fête du Têt, qui tombe le 16 février. Placé sous le signe du chien, il donnera lieu à deux semaines d'animation à Paris, essentiellement dans le XIIIe car le défilé des IIIe et IVe arrondissements est annulé cette année.
Rue du Temple, carrefour Gravilliers (IIIe). Quelques lampions sont làpour rappeler qu'on change d'année !
Les lampions sont en place pourtant dans le Marais mais ils sont plus clairsemés. Pour Sacha LIN c'est dû au fait que de nombreux commerçants chinois se sont éloignés d'ici pour s'installer à Aubervilliers où ils disposent de meilleurs conditions de travail. Il relève aussi un phénomène de simple lassitude de la part des organisateurs.
Nous sommes revenus sur ce débat de l'an dernier qui a fait suite à un article de notre part qui traitait de la difficulté de convaincre les commerçants de soigner leurs devantures et de respecter les normes qui découlent des règles d'urbanisme du Marais.
D'un commun accord, nous avons exprimé le regret que dès l'année 1996 où le règlement du PSMV (plan de sauvegarde et de mise en valeur) est entré en vigueur, les autorités de la Ville n'aient pas engagé un dialogue avec ces commerçants pour les faire adhérer à la grande ambition de réhabiliter le Marais et d'en faire le lieu prestigieux qu'il est devenu aujourd'hui. Ils auraient sans doute compris qu'il était de leur intérêt de participer à l'effort de rénovation pour profiter en retour de l'attractivité du quartier où ils exercent.
Certes le mouvement est lancé. Une rue comme celle des Gravilliers qu'on a longtemps montrée du doigt offre aujourd'hui un florilège de commerces à la devanture étonnante de créativité. Mais tous ne sont pas sur ce modèle et il faudra du temps encore pour la rue soit affranchie des devantures qui la défigurent. Une démarche plus pro active aurait probablement permis d'y arriver plus vite.
Le Musée des Arts et Métiers saisit l’occasion de la restauration d’une soierie Haussmann (médaillée à l’Exposition des produits de l’industrie française en 1819) et d’un bolide atypique de 1921, l’Hélica, pour organiser l’exposition-dossier « De la soierie au moteur. Dans les coulisses de la restauration. »
Celle-ci met sous les projecteurs l’activité de restauration rarement montrée au public et qui pourtant contribue à la conservation des collections. Sont ainsi expliqués « les raisons et les objectifs de la restauration, illustrés par l’exemple du sauvetage de la soierie Haussmann frères de Colmar, rare témoignage d’impression sur étoffes par la lithographie. » La deuxième partie de l’exposition rappelle que l’environnement joue un rôle majeur pour maintenir les œuvres dans les meilleures conditions. Les visiteurs découvriront des matériaux utilisés pour la conservation des collections, mais aussi les défis et la difficulté rencontrés pour assurer la conservation de certaines matières moins maîtrisables. L’exemple de la restauration entreprise en 2015 de l’Hélica, une voiture à hélice, l’une des dernières qui reste de la production des voitures de Marcel Leyat, qui a nécessité une restauration complète, est présentée aux visiteurs dans l’église du musée.
Jusqu’au 08 avril 2018 60, rue Réaumur (IIIe). Mardi au Dimanche :10h00-18h00 sauf Jeudi fermeture à 21h30
A la Bibliothéque Forney une exposition-hommage retrace le parcours de Charles Loupot qui fait partie des grands affichistes français du XXe siècle. L’annonce de cet événement précise qu’il « faut regarder l’artiste comme l’un des inventeurs en France du style Arts déco, dont il ouvrit les portes à sa discipline. C’est le plus peintre de tous les affichistes, le plus «artiste», le plus charmeur, mais il fut aussi le plus graphique, surtout après la Seconde Guerre mondiale lorsque, homme mûr, il invente un art géométrique et rigoureux…»
Affiches créées par Charles Loupot dont les réalisations sont exposées à la Bibliothèque Forney
Longue de 50 années, la carrière de Charles Loupot (1892-1962), au travers de plus de 100 pièces exposées chronologiquement, et à la différence de Cappiello ou de Chéret, couvre un évenail de ce qu'il est possible de faire en communication par l'affiche.
Jusqu'au 26 mai, 1 rue du Figuier (IVe)- Mardi-vendredi-Samedi : 13h00-19h30 - Mercredi et jeudi :10h00-19h30- Visites commentées le samedi à 15h00
Pouce en bronze, sculpture de César exposée sur la piazza du Centre Pompidou
Le temps maussade de ces derniers week-ends invite à fréquenter les musées autour de belles expositions et sur ce plan le Marais est « gâté ».
Conjointement à l’importante exposition Derain dont nous avons parlé (notre article du 8 octobre 2017) le musée Pompidou organise jusqu’au 23 mars une première et imposante rétrospective César comme l’annonce aux passants l’énorme pouce en bronze, une sculpture de l’artiste installée sur la Piazza . De son vrai nom César Baldaccini, le sculpteur est une « figure majeure du Nouveau Réalisme. » dont on peut apprécier l’œuvre à travers près de 100 pièces arrivées du monde entier. Lorsque l’on évoque César on pense notamment aux « Fers soudés », aux « Vénus » et au bestiaire qu’il invente, ainsi qu'à ses premières « Compressions » dans les années 1960. « Habité par une dualité constante entre tradition et modernité, l'artiste bouscule et intrigue son public. Plus de 50 ans de carrière, une œuvre profondément renouvelée et une inspiration conduite par la logique des matériaux qu'il s’est appropriés. »
De 11h00 à 21h00 sauf le mardi
Photographie de Marlène Dietrich(Photo The Guardian)
Le Musée européen de la photographie 57 rue de Fourcy (IVe) propose 200 des 2 000 photographies de Marlène Dietrich réunies par un passionné (Pierre Passebon) toutes prises par des photographes talentueux et de renom qui ont immortalisé la star, la chanteuse et l’actrice « l’éternelle Dietrich » comme elle fut souvent appelée.
Sa beauté, sons style insensé, son élégance, ses aventures amoureuses contribuent au mythe qui l’entoure et que restitue en partie cette exposition "Obsession Marlène" qui illustre son histoire incroyable ? A voir
Acquarelle de Michel Duvoisin. Paris 3ème et 4ème arrondissements - Éditions Équinoxe.
"La poésie de rentrée sur 2018" de notre sympathique inconnue m'a donné l'idée de poursuivre dans cette veine poétique pour mettre en exergue les pages principales de notre combat contre l'incivilité, en préservant et mettant en valeur notre patrimoine et notre art de vivre".
Michel du Marais
Cliquez dans la flèche pour entendre pendant votre lecture du poème l'Impromptu n°3 en Sol bémol de Franz Schubert dans l'interprétation sublime qui en est donnée par la jeune pianiste Olga Jegunova. Wladimir Horowitz est dépassé. Seul Murray Perahia fait aussi bien. Une référence !
GS
Ballade pour Paris
Quatrain véloce
Régression de la trottinette
Agression des rollers sur pieds
Et pauvres passants oubliés
Chahutés comme des marionnettes
Quatrain musclé
Paris, branle bas de combat
Quand des tagueurs tristes et viles
Salissent les sergents de ville
ACAB: Assez, C'est Assez, Basta !
Quatrain marchand
Passants pris au piège des espaces de vente,
A la queue leu-leu et entourés de nervis
De la publicité les sinistres servantes
Des réductions de prix, des atteintes à la vie !
Quatrain flyer
Des afficheurs de pub, des marchands de tapis
Qui fixent à tour de bras leurs infos exotiques
Sur tous les pylônes et sur tous les abris
Las, le piéton-chaland les voit comme des tiques
Quatrain motard
La colère est dit-on mauvaise conseillère
Et donne un coup de vieux, comme la pollution
Motards de tous les droits et des belles œillères
Ami du bruit, te mettre au pas, c’est ta sanction !
Quatrain climatique
Un coup de froid sans la moindre gelée dans l'air
On ouvre en grand le gaz, le plein de CO2
Pour réchauffer les terrasses comme pas deux!
Et l'Accord de Paris ? Et quid des pauvres hères ?
Quatrain canin
Beuh-Ah les déjections canines qui dégoûtent
Que l’on doit éviter, que l’on doit contourner
Transformant nos parcours en espaces de joute
Amis des animaux et de la propreté
Quatrain sonore
Ballet de décibels écorchant les oreilles
Des riverains arrachés des bras de Morphée
Qui appellent au silence les coryphées
Des fêtards amateurs de sons et de merveilles
Quatrain juridique
Ceux qui se jouent des lois, aiment se goberger
Insultant le voisin, des serpents à sornettes :
Vous ne fermez pas l’œil, et bien déménagez !
Pour faire prospérer nos sinistres guinguettes
Quatrain machiste
Difficile à changer, ces habitus « malins »
Mots intolérables, violences conjugales,
Inculture bar-bar(e), malaise au quotidien
Faire vivre un combat pour l’égal à égale
Quatrain historique
Paris ! On s'est aimé, on s'est battu sous tes murs
L'affiche de la nuit de la lecture qui aura lieu le 20 janvier 2018
La deuxième édition de la Nuit de la Lecture se déroulera le samedi 20 janvier 2018, dans les bibliothèques et librairies à travers toute la France. Cet événement est organisé par le ministère de la Culture et de la Communication.
Nous avons sélectionné plusieurs lieux qui mettront la lecture à l'honneur.
La bibliothèque Forney (1 rue du Figuier IVe) organisera des visites guidées toutes les demi-heures avec des lectures de poèmes (Baudelaire, Huysmans,...). 20h30 à 23h00.
Le musée de la Chasse et de la Nature (62 rue des Archives IIIe) profite de cette occasion pour proposer son salon annuel du livre avec la remise du prix littéraire François Sommer (15 K€)il sera possible de visiter gratuitement les collections et de suivre des débats, des rencontres, des conférences et des films. 10h00 à 19h00.
La Mouette rieuse, la charmante librairie (17 bis rue Pavée IVe) donnant sur le jardin des Rosiers-Joseph Migneret, a décidé de faire écrire en lien avec le Labo des Histoires et Aleph Ecritures au travers de master class pour les jeunes et d’ateliers pour les adultes. 17h00 à 22h30.
La bibliothèque des Amis de l'Instruction publique du IIIe (54 rue de Turenne) se focalisera sur un dialogue autour de la figure du poète, critique d'art, historien et résistant Jean Cassou (1897-1986) en partenariat avec le revue Europe. 17h00 à 22h00.
Les Archives nationales (60 rue des Francs Bourgeois IIIe) ne manqueront pas cet événement avec des lectures d'ouvrages sortis de ses collections sur le thème de l’exposition en cours "Dessiner et bâtir, le métier d’architecte au XVIIe". 18h00 à 21H00.
Enfin la bibliothèque historique de la Ville de Paris (24 rue Pavée IVe) offrira une déambulation dans les rues voisines de ses locaux en compagnie d'un architecte. Les visiteurs seront guidés par des écrits d’habitants et touristes du Paris d'autrefois. Des documents anciens seront sortis des collections. 19h00 à 20h30.
La salle de lecture de la Bibliothèque historique de la Ville de Paris (Photo LP)
Après 11 mois de travaux, la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris (BHVP) rouvrira ses portes à partir du lundi 11 décembre prochain. Une manière de découvrir ou redécouvrir l'Hôtel de Lamoignon datant du XVIe siècle 24 rue Pavé (IVe) qui abrite cet espace culturel spécialisé dans l’histoire de Paris, la littérature et le théâtre.
Sur les 5 000 m2 qui composent la Bibliothèque, forte de ses 18 km de rayonnages, de véritables trésors abrités dans ce lieu seront disponibles à tous lors de la journée portes ouvertes du samedi 9 décembre,. De l’immense tableau d’Eugène Bourgeois "Vue de la place de la Bastille et de ses environs"en 1889, au manuscrit de "L’Éducation sentimentale" de Flaubert, la dernière lettre de Camille Desmoulins ou l’extraordinaire fonds photos de « France Soir », ce patrimoine essentiel pour l’histoire de la capitale et de la culture s’ouvre à un plus large public et améliore les conditions d’accueil de ses usagers. Le fonds littéraire riche en manuscrits et documents d'auteurs célébrés (Cocteau, Apollinaire, Voltaire ou Georges Sand..) est réputé.
Moins attendue est la découverte du premier ticket de métro datant du 19 juillet 1900, jour de l’ouverture du métropolitain ou celle du plus ancien menu à prix fixes (1792) du restaurant « Very frères » au Palais Royal..
890 000 € ont été investis dans ces travaux financés par la Ville (salle d'entrée rénovée, leds, cafétéria, espace journaux en libre service, mise à jour des normes de sécurité incendie, accès handicapés...).
La BHVP est ouverte à tous du lundi au samedi de 10h00 à 18h00.
L'édition 2016 du salon de la BD à la Halle des Blancs Manteaux (IVe)
Le salon de la BD « SoBD » se tient du 8 au 10 décembre à la Halle des Blancs Manteaux, 48 rue Vieille du Temple (IVe). Toute aussi intéressante pour les fans que pour les curieux, cette manifestation présentera de nombreuses BD contemporaines.
Cette année la BD suisse sera mise en tête d’affiche et le SoBD accueillera deux invités d’honneur : Edmond BAUDOIN, artiste révélé par la maison Futuropolis, ainsi que Philippe SOHET, auteur de deux ouvrages sur Edmond Baudoin et son travail.
Sont annoncés des expositions, un musée éphémère, de jeunes talents, de nouvelles expérimentations en matière de BD et des master classes avec des artistes. Des ateliers et des rencontres sont également inscrits au programme.
Entrée libre
Une œuvre de Julio le Parc
La galerie Perrotin, 76 rue de Turenne (IIIe), présente jusqu’au 23 décembre une exposition sur Julio Le Parc avec de nombreuses pièces en 3D connues du public mais aussi inédites, notamment technologiques virtuelles, avec un travail de recherche en collaboration avec Juan Le Parc (fils de l'artiste) sur le mouvement et la perception de l’art dans un espace et une lumière en constant changement.
Rappelons que Julio Le Parc est à l’origine dans les années 60 de la création du GRAV (Groupe de Recherche d’Art Visuel) en lien avec la notion d’instabilité de l’art.
Avec des perceptions multiples pour l’observateur, des jeux d’optique caractéristiques baignent les réalisations du peintre.
Une monographie publiée par la galerie est à la disposition du public.
Dans un article assez dense révélé par un de nos lecteurs, la Tribune de l’Art datée du 1er décembre porte une critique appuyée sur les orientations muséales prises par les responsables du musée Carnavalet à l’occasion de sa rénovation.
Le principal reproche vise la réduction du nombre de pièces qui seront exposées. D’après plusieurs déclarations des responsables reprises dans l'article, la baisse serait de 15 à 35%. L’explication tient au parti pris adopté, à savoir « présenter un parcours complet du mésolithique au XXIe siècle » et non plus montrer un maximum d’œuvres qui favorise plus certaines périodes riches en collections par rapport à d’autres plus pauvres. Pour la direction du musée c’est plus cohérent et davantage en phase avec les pratiques des grands musées de ville en Europe.
L’article de la Tribune de l’Art souligne aussi, malgré cette réduction du nombre d’œuvres exposées et donc des surfaces qui pourraient être libérées, le choix de ne pas étendre pour autant la surface destinée aux expositions temporaires.
Il s’étonne de l’achat d’œuvres contemporaines alors que le budget achat serait mince (40 K€) obérant les possibilités d’achat d’œuvres plus anciennes et historiques. Il pointe l’entrée dans le musée de bornes Vélib’ qui auront bientôt disparu du paysage parisien.
Il pose la question de l’intérêt de créer un restaurant à l’intérieur du musée dans un quartier où il y en a beaucoup. Des espaces réservés à la location sont prévus, l’Orangerie serait intégrée dans ceux-ci. Sur le plan architectural, l’architecte en charge des travaux ne prévoit pas de réel changement structurel.
Comme pour toute rénovation, les critiques ne manqueront pas de se manifester. Mais n’est-il pas préférable d’attendre le résultat de tous ces aménagements pour émettre une opinion ?