La vitrine de l'ancien magasin d'optique 56 rue Beaubourg (IIIe) (Photo VlM)
A de nombreuses reprises déjà, nous avons dénoncé le comportement inadmissible de ceux qui profitent de la fermeture d’un magasin, suite à une cession d’activité par exemple, pour utiliser la devanture comme nouveau terrain d’affichage sauvage et il y en a malheureusement de plus en plus en ces temps de conjoncture économique morose.
Rappelons sur ce point les articles que nous avons écrits, l’un le 14 novembre 2014 concernait plusieurs cas rues Chapon et Michel Le Comte (IIIe) ou bien un autre plus récent, le 9 février dernier, à propos des vitrines situées à l’angle des rues de Turenne et du Parc Royal (IIIe).
Si nous insistons autant sur ce genre d’incivilité c’est pour mettre en exergue, alors que le phénomène prend de l’ampleur au fil des mois, l’inefficacité de l’administration pour l’éradiquer tant vis-à-vis des propriétaires ou locataires, que des commanditaires des affiches et de ceux qui les posent, alors même qu'elle dispose de l'arme absolue : le "recouvrement d'office".
Il faudra quand même bien s’emparer tôt ou tard de ce sujet qui contribue à entretenir cette mauvaise impression de malpropreté et de laisser aller.
En attendant, nous avons signalé le cas de la rue Beaubourg aux services de la propreté via l’application «DansMaRue».
Dominique Feutry