Vélo et voiture bien prés l'une de l'autre
Un grand quotidien titrait récemment que la cohabitation entre les cyclistes et les automobilistes était de plus en plus difficile...
Vélo et voiture bien prés l'une de l'autre
Un grand quotidien titrait récemment que la cohabitation entre les cyclistes et les automobilistes était de plus en plus difficile...
Rédigé à 20:53 dans circulation centre de Paris, Politique, Société, Voirie/Déplacements | Lien permanent | Commentaires (13)
Rue des Coutures Saint-Gervais (IIIe), le vendredi 30 juin 2017 (Photo VlM/JFL)
Ambiance de kermesse sinistre rue des Coutures St Gervais (IIIe), des calicots posés par des habitants sur les immeubles qui disent NON à la "Rue'Golotte" (le nom donné à cette initiative facétieuse) et du crêpe noir sur les devantures pour souligner la détresse des galeries d'art dont l'activité est menacée de mort.
Contre vents et marées, le projet démarre. Il en coûte 75.000 € au contribuable parisien, pour la joie d'enfants de l'école voisine des Quatre-Fils dont les parents ont eu la délicatesse d'envoyer leur progéniture se divertir dans une rue qui n'est pas la leur. Une rue dont les habitants et les commerçants (une dizaine de galeries d'art) n'ont pas été consultés et s'y sont opposés avec force quand ils l'ont appris.
Le contexte a été longuement décrit pas Jean-François Leguil-Bayart dans son article du 26 juin 2017. La mairie du IIIe a manqué de discernement en laissant l'affaire se développer. Son Maire et ses Adjoints ont pourtant veillé jusque là à juguler les initiatives fantaisistes et nuisibles aux habitants, qui germent ici ou là, notamment, comme c'est le cas ici, au sein des conseils de quartiers. Il faut dire que lorsqu'on annonce à un groupe non représentatif : vous avez tant de dizaines de milliers d'€ à dépenser et vous devez vous dépêcher sinon ils seront perdus, il se trouve en général un "rigolo" qui vous sort un projet farfelu qui a dès lors toutes les chances de passer !
L'association en charge du projet nous a contactés et voudrait discuter avec nous. Nous sommes là pour nous exprimer et agir pour le compte des habitants du Marais. Encore faut-il qu'on soit saisis en amont. Dans cette affaire, nous constatons qu'elle s'est déroulée en catimini et dans une intention qui manque d'élégance. On ne dispose pas d'une rue entière pour y installer des nuisances sans en parler aux riverains !
Nous craignons que cette affaire ne puisse se régler que par un profond remaniement du projet. Nous faisons confiance au Maire Pierre Aidenbaum qui en a vu bien d'autres, pour sortir la rue de l'impasse !
Gérard Simonet
Façade du 13 square Sainte-Croix de la Bretonnerie (IVe) (photo H. Abbadie)
Au 13 Square Sainte-Croix de la Bretonnerie (IVe) se trouve un immeuble inscrit au PSMV (plan de sauvegarde et de mise en valeur) du Marais dans lequel ont été aménagés 11 logements sociaux (3 logements dits PLA-I et 8 logements dits PLUS) en 2011. A cette occasion la structure du bâtiment a été renforcée, la couverture et la charpente ont été révisées, les menuiseries remplacées et le bâtiment a été ravalé. Les 11 logements comme les parties communes et l'ensemble des réseaux (eau, électricité, etc.) ont été remis aux normes. La courette intérieure refaite a été végétalisée. Une opération de rénovation lourde en somme devenue courante !
Or à peine 6 ans après ces transformations, parmi les demandes de permis de construire du BMO (bulletin municipal officiel de la Ville de Paris) du 27 juin 2017 figure à nouveau une demande pour des travaux non négligeables précisément sur ce même immeuble. Cette demande est ainsi libellée « Recul partiel de la façade et de l’escalier sur passage pour alignement sur l’héberge du N° 39 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, changement de locaux à usage d’habitation en locaux sociaux pour les commerces, au 2ème étage du bâtiment d’angle avec le Square, et au 1er étage du bâtiment entre le passage et la cour N°3, déplacement de 2 gaines d’ascenseur, intégration de grilles de ventilation au local transformateur, dépose de 2 allèges au rez-de-chaussée en façade côté square, implantation d’un compteur EDF en façade principale...»
Voilà qui montre combien l’entretien, l’évolution de la réglementation, les transformations induites par les usages réels des bâtiments ou la difficulté parfois de louer (cet immeuble est en effet située dans une rue très bruyante le soir et jusqu’à tard dans la nuit …) sont une charge pesante pour le propriétaire, à savoir la ville de Paris, donc les contribuables parisiens. Charge financière qui alourdit les déficits d'exploitation due à la modicité des loyers et aux impayés (17 % selon nos informations) et qui s’ajoute au service de la dette afin de rembourser les emprunts contractés pour réaliser ces opérations, souvent sur des durées très longues !
La Ville n'a pas les moyens de multiplier à l’envi le nombre de logements sociaux, notamment dans les quartiers où l’immobilier est très cher, avec ses conséquences tant en matières de dépenses que d’endettement qui en découlent ? Ne serait-il pas temps de faire une pause alors qu’il semble, comme l‘illustre le cas repris ci-dessus, qu’il y ait fort à faire pour entretenir et maintenir à niveau le parc existant ?
Dominique Feutry
Rédigé à 14:39 dans Actualité, Logement, Politique, Urbanisme, PSMV | Lien permanent | Commentaires (0)
Des barrières en forme de croix de Saint André ont été installées par la mairie du IVe pour délimiter l'emprise des terrasses (Photos VlM/SB)
Combien de fois nous sommes-nous exprimés sur la situation désespérée de la place du Marché Sainte-Catherine (IVe) !
Lundi 26 juin, un petit miracle s'est produit, la voirie a installé sur la place des croix de Saint-André afin de délimiter les terrasses des restaurants, rendant extrêmement lisible le dépassement éventuel des restaurateurs.
La place et la rue Caron respirent à ce jour la tranquillité. L’action des riverains n’a pas été vaine, même si certains auraient préféré le plan de végétalisation proposé et approuvé par la mairie du IVe dans le cadre du budget participatif. Mais ce dernier s’est heurté à des obstacles à la mairie centrale et au fait que l’architecte des Bâtiments de France préférait garder son caractère minéral à la place.
Cette nouvelle installation devrait contenir l’expansion indéfinie des terrasses et avec elle le niveau de bruit insupportable de nuit comme de jour et permettre à nouveau l’accès des véhicules de secours sur la place et la rue Caron, elle avait été rendue impossible par l’occupation incontrôlée des terrasses.
De fait le matériel des restaurateurs (plantes en pots, vitres en verre des restaurants et autres ardoises de menus…) ne devrait plus empiéter sur la voie publique. Il faut espérer que les inspecteurs de la DPSP seront vigilants et interviendront pour verbaliser tout rang de table dressé hors des barrières ou le stationnement sauvage des scooters et véhicules qui ont pris possession de la Place et de la rue Caron de façon complètement irrespectueuse.
L’espoir renait pour les habitants qui n’en pouvaient plus et avaient l’impression de se battre contre des murs. Ils attendent avec impatience la pose annoncée des capteurs Bruitparif.
Rédigé à 18:38 dans Actualité, Cadre de Vie, Environnement, Paysage de la rue, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (10)
Décorations permanentes au bas de la rue des Archives (photo VlM)
La marche des fiertés a attiré beaucoup de monde ce 24 juin.
Ne revenons pas sur les excès de tous ordres qui s’en sont suivis au même titre que la fête de la musique qui se tenait quelques jours auparavant. Penchons-nous plutôt sur le « pavoisement arc en ciel » qui suscite de plus en plus de commentaires de la part des habitants et des amoureux du Marais.
L’écharpe d’Iris les étouffe, omniprésente en l’air, sur les façades, au sol (dessiné à la craie sur la plupart des passages piétons) et même à la mairie du IVe ! Ce ne serait pas plus dérangeant que les lanternes rouges du nouvel an chinois si cette outrance ne dénotait pas en fait la main mise sur tout un quartier dans un but essentiellement mercantile. Tout le monde ou presque veut profiter du pactole.
Toutefois cette façon de procéder laisse libre cours à tous les abus. Ainsi les débordements de terrasses autorisées et non autorisées sont légion. L’exemple le plus criant était à la nuit tombée celui de la rue (dite place) du Bourg Tibourg (IVe). Il y avait des tables bien au-delà des jardinières et des paillottes construites de part et d’autres. Il était bien difficile de traverser la place où par ailleurs les motos stationnaient comme à l’ordinaire. Et quid aussi des déversements de décibels des baffles installés un peu partout à rendre sourd un bœuf ?
Tous les passages piétons ont été doublés des couleurs de l'arc en ciel (photo VlM)
D’une certaine manière ce dévoiement peut aussi être interprété comme le besoin d’ancrer dans les esprits que le Marais est avant tout le quartier gay de Paris. Est-ce bien nécessaire et est-ce bien réaliste ? Pourquoi d’autres communautés ethniques, religieuses ou étrangères ne lanceraient pas à leur tour et à leur façon, sans limite bien entendu, de grandes fêtes avec force décorations, débordements, musiques et décibels ?
Avec ce type de fête nous marchons sur la tête ! Restons plutôt factuels et réalistes en rappelant les propos de l’historienne, Directrice d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales qui concluait sur l’histoire des migrations dans le Marais (voir notre article du 27 avril 2017), le Marais « a autant de qualificatifs que de guides… quartier royal, juif, bobo (*), chinois (*), gay, historique… », mais ajoute-t-elle « comme dans tout quartier, il y a le visible et l’invisible, ce qui rend sa qualification impossible (*) NDLR»
Puissent certains s’inspirer de ce constat étayé et arrêter les excès guidés par la volonté condamnable de marchandisation du quartier, encouragée par la municipalité.
Rédigé à 11:03 dans Cadre de Vie, Environnement, Lutte contre le bruit, Paysage de la rue, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (17)
Madrid. Calicot sur le trajet de la manifestation : "Fierté oui, mais pas comme ça" - "Nos droits ne sont pas un business !"
La gay-pride à Madrid : les associations de défense des riverains considèrent qu'il s'agit, sur le thème de la défense des droits d'une communauté, de créer une attraction supplémentaire dans le dysneyworld de ceux qui cherchent à faire beaucoup d'argent sous n'importe quel prétexte....
Rédigé à 10:49 dans Actualité, Cadre de Vie, Environnement, Lutte contre le bruit, Paysage de la rue, Politique, Société, Vivre le Ville ! | Lien permanent | Commentaires (0)
Est-ce ce Paris, imaginé pour les touristes comme nous l’explique une maison de thé pour un de ses produits « réalisé à l’image de Paris, qui libère un parfum de rose accompagné de fruits qui s’émancipent doucement en bouche » ?
Où voit-on ce Paris ? Certainement pas dans le Marais, dimanche matin, en empruntant avec des amis de province la rue de Braque, et celles menant ensuite vers la Place des Vosges. Car le lendemain de soirées et jours de fêtes, ces rues « so romantic » aimées de tous ne rappelaient pas ces senteurs agréables. C’est au contraire une odeur très agressive d’urine humaine qui flottait – et qui flotte toujours – dans l’ « air de Paris », parfum qui provient des marques d’urine et de vomi sur les trottoirs, embellies par les décorations des mégots.
Tout cela donne un nouveau sens à ce vers de Baudelaire dans « les Fleurs du mal » :
« Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides »
Espérons que ce souvenir répugnant de Paris ne deviendra pas « la madeleine de Proust » que beaucoup auront en mémoire.
Ce manque d’hygiène élémentaire échappe à tous nos festives et festifs du soir et du matin, qui soulagent leur trop-plein d’alcool entre les voitures (plus discret pour les filles), dans les recoins des portes cochères ou le long des murs, pour les garçons. Comment faire adopter un comportement citoyen au moment où alcool et autres substances annihilent l’esprit humain ? Comment lutter contre ce comportement incompatible avec le respect d’autrui et indigne des lieux publics que sont aussi les rues ?
Un anonyme a laissé cette phrase, peu élégante mais bien explicite, qui pourrait contribuer à une prise de conscience :
« Pisse heureux, pisse content, mais pisse dedans »
Rédigé à 20:30 dans Cadre de Vie, Environnement, Paysage de la rue, Politique, Propreté, Société | Lien permanent | Commentaires (5)
Rue Rambuteau, à hauteur du carrefour Archives (IIIe-IVe)
Nous l'avons constaté : une vingtaine d'affiches roulées en cylindres débordaient des corbeilles à papier du carrefour et quelques affiches-témoins, comme celles-ci, avaient réussi à survivre à une Saint-Barthélemy impitoyable sur ce secteur du quartier.
Des affiches qui portent en coin la mention "Mairie de Paris" et son visuel. Il s'agit d'un abus de confiance pour donner à croire que la démarche est approuvée par la municipalité. Il n'en est évidemment rien, au contraire. La mairie avec l'argent des contribuables subventionne l'opération "Solidays". A ce titre, les organisateurs se doivent à plus d'un titre de respecter la loi, en l'espèce le règlement publicité de la Ville de Paris. On observe qu'ils font l'inverse en se conduisant en terrain conquis de manière incivique.
Nous avons saisi la DPSP (direction de la protection, de la sécurité et de la prévention) pour qu'elle intervienne.
Rédigé à 15:46 dans Actualité, Cadre de Vie, Environnement, Evènements culturels, Paysage de la rue, Politique, Propreté | Lien permanent | Commentaires (2)
Quai de l'Hôtel de Ville (IVe) (Photo VlM)
Il se prénomme Jimmy et dit avoir été SDF victime de la Maire de Paris qui refuse de lui attribuer un logement à sa convenance. Citons le : "LOL (mort de rire - ndlr) ! ... Depuis deux mois, trois jeunes graffeurs vraiment très sympas me font une pub d'enfer ! Tant que la Hidalgo refusera de me reloger correctement, c'est à dire logement social décent, ils vont « signer » mon site SDF75 sur tous les gros arbres de Paris ! Il y en a déjà plus de 220.... (voir nombreux articles via Google "SDF75")
Voilà pourquoi les plus beaux arbres de Paris, des platanes centenaires, sont défigurés par cette inscription dont l'auteur explique qu'elle n'est pas de lui mais de sympathisants, des fois que la mairie de Paris s'aviserait de l'assigner en justice pour dégradation de bien public ou autre fondement tout aussi pertinent.
Il reconnait 220 crimes et il est fort probable que le chiffre ait progressé entre temps. Va-t-on le laisser poursuivre le massacre ? Nous prenons contact avec l'Hôtel de Ville ainsi que la mairie du IVe, où Pacôme Rupin, candidat "En Marche" aux législatives a été conseiller municipal et ne peut pas ne pas avoir remarqué cette agression caractérisée contre notre environnement et notre patrimoine végétal. En même temps, nous portons l'affaire auprès du directeur de la DPSP (direction de la protection, de la sécurité et de la prévention), Matthieu Clouzeau, chargé de la répression des incivilités (et c'en est une !)
Si la mairie décide de poursuivre l'auteur au pénal, nous nous porterons volontiers partie civile. Mais on connait la lenteur des actions en justice. Il faut donc sans tarder effacer ces dégradations. A notre avis, s'agissant d'un support végétal vivant, la DEVE (direction des espaces verts et de l'environnement - Carine Bernede) doit associer ses compétences avec celle de la DPE (direction de la propreté - Patrick Geoffray). Nous les saisissons du problème. La priorité nous parait être la suppression des inscriptions sur les arbres ou leur couverture par un voile de peinture inoffensive. En rendant les inscriptions invisibles on découragera le vandale de poursuivre.
GS
Rédigé à 13:38 dans Cadre de Vie, Environnement, Parcs & jardins, Paysage de la rue, Politique, Propreté, Voirie/Déplacements | Lien permanent | Commentaires (4)
La mairie de Paris à la peine à endiguer la prolifération des rats !
A la suite de nos articles (1er et 8 décembre 2016) traitant de l'infestation des rats dans les squares de notre quartier, nombre de journalistes, étudiants et chercheurs français et étrangers se sont focalisés sur le sujet (notre article du 15 mars 2017), pendant que la mairie entreprenait des mesures de prévention en fermant notamment 9 squares dont ceux de la Tour Saint-Jacques (IVe) et Charles-Victor Langlois rue des Blancs Manteaux (IVe) tout en lançant l’éradication des rongeurs.
Force est de constater, 6 mois passés, que la situation a peu évolué. Les squares sont toujours fermés, preuve que les rats sont encore présents.et prospèrent.
A qui la faute ?
Aux rats eux-mêmes, rusés et "intelligents" qui ne se laissent pas traquer si facilement dit-on.
A ceux qui continuent à laisser sur les trottoirs et à côté des poubelles, ordures, restes de nourriture et papiers gras dont raffolent nos rongeurs...
A la mairie de Paris qui ne met pas suffisamment de moyens pour combattre les rats (produits de dératisation insuffisamment puissants et moyens humains trop limités).
Les Parisiens sont lassés par cette situation et frustrés de ne pouvoir profiter des squares avec l'arrivée des beaux jours. Ils s'étonnent de croiser encore autant de rats Il sont atterrés par un tel manque de résultat, alors qu'il s'agit d'une question de salubrité dans une ville à forte densité de population, très fréquentée par les touristes par ailleurs !
Pourtant un spécialiste de ces questions, l'auteur du livre "Des rats et des hommes", Pierre Falgayrac, expert en hygiène et sécurité préconise dans son ouvrage des mesures simples, afin de réguler le population des rats, seule solution pérenne à ces yeux.
Il recommande de
Dératiser les égouts avec des biocides en ciblant très précisément les alentours des commerces de bouche (supermarchés et restaurants), en prenant soin d’utiliser des appâts plus appétissants que la nourriture que les rats peuvent trouver dans les poubelles à la surface ;
Placer des pièges mécaniques à noyade dans les espaces verts, que l’on déplace d’une semaine à l’autre. Cette méthode permet de ne pas fermer les parcs, car ces pièges sont sans crainte pour l’homme ou les autres animaux (chiens, oiseaux, etc.) ;
Nettoyer les trottoirs deux fois par jour, surtout aux abords des commerces de bouche ;
Dératiser une zone un mois avant d’y faire des travaux, car les travaux font fuir les rats des égouts qui surgissent alors sur terre.
Bien entendu une meilleure sensibilisation, une éducation des Parisiens et des touristes qui doivent apprendre à ne pas jeter à terre les restes de nourriture et les emballages, compléteront le dispositif.
Il est grand temps que les équipes ad hoc de la mairie passent la vitesse supérieure !
Dominique Feutry
Rédigé à 23:12 dans Cadre de Vie, Environnement, Parcs & jardins, Paysage de la rue, Politique, Propreté | Lien permanent | Commentaires (7)