Un bar de la rue des Archives (IVe) vers 01h00 du matin le 29 juin avec force sonorisation et projecteurs
La version 2014 de la « gay pride », dont le parcours n'emprunte pourtant pas les rue du Marais, n'a plus rien de commun avec la convivialité en faveur de la communauté homosexuelle qui avait présidé à sa création.
Comme pour la "fête de la musique" (article du 16 juin 2014), plusieurs établissements de la rue des Archives, de la rue du Temple et de la rue au Plâtre nous ont été signalés par les riverains comme particulièrement bruyants et cela dès le début de la soirée.
Saisir le prétexte de la fête, qu'il s'agisse de la "fête de la musique", de la « gay pride » et sans doute prochainement, de la fête du 14 juillet, pour transformer ces événements en tapage nocturne, en attroupements bruyants et en cascades de bière à des fins de revenus faciles est un dévoiement qui à terme tuera l'événement car il le dénature. C'est dommage, pitoyable et égoïste.
Au même moment un autre bar voisin très bruyant où apparait nettement un nombre effarant de canettes de bière au sol, d'autres sont abandonnées sur le toit des voitures
L'anarchie règne, le bruit est démultiplié par les sonos installées par ces établissements et par les "clients" sur les trottoirs qui vocifèrent à qui mieux-mieux jusque tard dans la nuit. Cela devient préoccupant. Tout est en effet prétexte pour mettre en avant telle ou telle animation débridée, interlope, jusque tard dans la nuit. Que dire aussi de la montée inexorable de l'alcoolisme qui en découle...
Au petit matin, les habitants sont réveillés par les camions-ramasseurs de toutes les saletés (éclats de verre, canettes, flyers en abondance, bouteilles en verre ou plastic vides, mégots, déjections, etc...), et le nettoiement des chaussées et trottoirs. Cela coûte de plus en plus cher aux contribuables qui résident dans le quartier, au mieux ce sont les établissements -et donc leurs clients-usagers- qui devraient régler la facture. La mairie de Paris doit y réfléchir sérieusement car c'est inique et elle recherche des recettes.
Les autorités doivent aussi commencer par faire respecter la réglementation, trop souvent et facilement ignorée. Le non-droit qui s'est installé a ses limites !
si t aime pas la fete ni les gay, va pas t installer ds le marais !! Bande d abrutis, restez ds le 16e c ets calme!Les gays et les juifs se sont installés la parceq personne ne voulait de ce quartier...
Rédigé par : ben | 21 septembre 2014 à 17:02
chacun doit nettoyer son trottoir devant son commerce, c'est comme mettre du sel quand il neige, des pratiques qui ne sont plus courantes, et pourtant... c'est la législation, il suffit de l'appliquer et que ce ne soit pas le contribuable qui sorte son porte monnaie.
Rédigé par : dominique ALAMICHEL | 02 juillet 2014 à 14:52
Pollueur-payeur (immondices, tapage nocturne, etc...)! Et triste comme le dit justement Isabelle Perrine!
Rédigé par : jean-pierre | 02 juillet 2014 à 13:48
Il serait URGENT par le biais d'un arrêté municipal d'exiger (comme en Belgique) que les commerçants et surtout les limonadiers NETTOIENT les trottoirs de leurs établissement. Il serait bon que dès la rentrée cette proposition soit mise à l'ordre du jour.
Rédigé par : germon | 02 juillet 2014 à 08:19
C'est vraiment triste de voir ce qu'est devenu ce quartier en dix ans !!!
Rédigé par : [email protected] | 01 juillet 2014 à 21:46