A gauche pharmacie du Dr Laurence Mazas, 54 rue Beaubourg - IIIe - 01 42 72 24 44.
A droite la Pharmacie des Archives du Dr Philippe Bellaïche, 2 rue des Archives - IVe - 06 87 27 72 91
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Rédigé à 14:11 dans Actualité, santé publique | Lien permanent | Commentaires (1)
Mairie de Paris centre, vue depuis le square du Temple-Elie Wiesel
Le Premier adjoint à la Maire de Paris, Emmanuel Grégoire, en charge de l'urbanisme, entouré des Maires-adjoints Nicolas Nordman (sécurité), Olivia Polski (commerce artisanat), Frédéric Hocquard (tourisme et vie nocturne) assistés d'Ariel Weil Maire de Paris-centre et François Vauglin Maire du XIème arrt, ont reçu une délégation de 40 associations parisiennes se réclamant du mot d'ordre "Rendez Nous Paris".
Les élus nous ont adressé un compte rendu qui faisait état de leur rencontre avec ... Vivre Paris ! (rectifié ensuite car il s'agissait d'un malentendu révélateur de l'influence de cette mouvance dont "Vivre le Marais !" fait partie depuis 2011).
Les points saillants de leurs engagements vont dans le sens de nos attentes même si le doute persiste sur la réalité de leur bonne exécution sur le terrain :
On constate qu'il y a "du grain à moudre" pour les associations et leurs représentants si, comme nous le croyons, nos élus agissent de bonne foi et avec le souci de préserver prioritairement la santé des citoyens dans les changements radicaux que nous imposent le dérèglement climatique, la lutte contre la pollution, et la résistance face au COVID.
Gérard Simonet
Rédigé à 09:43 dans Activités économiques, Actualité, Cadre de Vie, Environnement, Lutte contre le bruit, Politique, santé publique, Vivre Paris ! | Lien permanent | Commentaires (5)
Terrasses place de la Fontaine Jean-Pierre Timbaud (XIe), 17 septembre 2020 (Photo Chalenges)
L'essentiel de ce que la société civile parisienne compte de citoyens mobilisés contre la politique d'abandon de l'espace public aux bars-restaurants en cette période de post-confinement, s'est retrouvé pour signifier à la Maire de Paris Anne Hidalgo et à ses Adjoints ses préoccupations face à ses déclarations récentes à la presse.
Ces parisiens rassemblés dans leurs associations de quartiers et représentées par elles demandent à être reçus par la Maire de Paris par la lettre ouverte qui suit :
EXTENSIONS de TERRASSES à PARIS jusqu'en JUIN 2021
LETTRE OUVERTE à Anne HIDALGO
Les associations de riverains et d’artisans parisiens demandent à être reçues d’urgence par la Maire de Paris
De nombreuses associations de la société civile, représentantes de riverains, d’usagers de l’espace public, d’artisans parisiens, demandent à être reçues par la Maire de Paris à la suite des annonces faites en matière de terrasses et de piétonisation.
Ces décisions, présentées hier comme des mesures de compensation temporaire à la fermeture d’établissements pendant la période de confinement, sont aujourd’hui énoncées comme pérennes. Une modification du Règlement des étalages et terrasses, dont les conséquences risquent d’être très dommageables aux riverains et aux artisans, est en effet annoncée.
Dans un contexte où les Parisiens ont besoin d’apaisement, de solidarité et de proximité, les signataires regrettent la brutalité et la verticalité de la méthode mise en œuvre, qui se traduit par l’éviction des maires d’arrondissement et par la mise à l’écart des associations représentant les habitants et une multitude de professions. Aucune organisation professionnelle n’a été entendue à part celles des Cafés Hôtels Restaurants… Tout cela est en totale contradiction avec les promesses d’une politique plus participative.
Les signataires déplorent l’incapacité de la Mairie de Paris et de la Préfecture de Police à faire respecter la « charte des engagements » et donc leur impuissance à protéger les Parisiens contre les risques sanitaires et les nuisances générées par les terrasses « éphémères ». Ils s’inquiètent en effet d’une dérégulation encore moins contrôlée de l’espace public, alors que les risques de propagation du coronavirus, les nuisances sonores, l’alcoolisation massive, les comportements antisociaux, ont redoublé avec l’entrée en vigueur de cette décision.
En tant que citoyens, les signataires s’alarment d’un mouvement sans précédent de privatisation et de marchandisation de l’espace public parisien, ainsi que de sa totale soumission aux seuls intérêts privés des débits de boisson, au détriment des autres professions doublement pénalisées par la pandémie et les terrasses qui les privent d’espaces de livraison et de stationnement.
Ils constatent enfin qu’une étape supplémentaire a été franchie dans l’exclusion de l’espace public des personnes à mobilité réduite, dont le droit de circuler est toujours plus entravé à Paris, au point d’être aujourd’hui remis en cause par l’élargissement des terrasses.
Devant la gravité de cette situation, les organisations et citoyens signataires appellent la Maire de Paris à ouvrir dans les plus brefs délais des discussions concernant son projet.
Paris, le 21 septembre 2020
Contact presse :
Numéro de téléphone : 06 80 04 20 13
Les associations signataires listées ci-dessous représentent tous les arrondissements de Paris (sauf le 15ème…) :
Association Belleville Couronnes
Association pour la Défense des Riverains et l'Animation du Quartier des Halles (ADRAQH)
Association des Riverains du Canal Saint-Martin
Association Fiers d'être Artisans IDF
Association Habiter Paris
Association Riverains Sedaine
Collectif Clichy-Blanche
Collectif des Riverains de la place du Marché Sainte Catherine
Collectif Droit au Sommeil
Collectif Nuisances Sonores
Collectif rue Marie et Louise
Collectif pour l'Amélioration du Cadre de vie du Quartier Belleville Saint-Maur
Collectif Riverains Folie Méricourt
Collectif Riverains Impasse Guéménée
Collectif Riverains de la place Jean-Pierre Timbaud
Collectif Riverains Jean-Pierre Timbaud
Collectif Vivre République
Réseau Vivre Paris ! (regroupe 20 associations présentes dans 18 des 20 arrondissements)
Vivre le Marais ! Vivre Paris centre ! (regroupe des associations et collectifs de Paris-Centre)
"Terrasse étendue" fin mai 2020 (Photo "Le Parisien")
Le journaliste Jean-François Leguil-Bayart, signataire de l'article paru ce 10 septembre sur Médiapart, a la dent dure à l'égard de la Maire Anne Hidalgo et du Préfet Didier Lallement. Mais si le jugement est teinté de parti-pris, le style est séduisant et les faits sont là. Nous les avons nous-mêmes relatés : débordements au canal St Martin, aux Halles, à la Butte aux Cailles, nuits chaudes et alcoolisées à Oberkampf/Jean-Pierre Timbaud, place du Marché Ste Catherine, rue des Archives et le COX, le WHO's et le Gibus.... La liste est longue avec partout des manquements à la charte que les exploitants ont signé à deux mains en sachant qu'ils ne la respecteraient pas.
L'article de Jean-François Leguil-Bayart sur Médiapart
Rédigé à 12:52 dans Activités économiques, Cadre de Vie, Environnement, Paysage de la rue, Politique, santé publique, Vivre Paris ! | Lien permanent | Commentaires (12)
Place du Marché Ste Catherine "avant" ; aquarelle de Jean-Charles Decoudun, janvier 2006.
En réponse aux nombreuses plaintes des riverains de la place, résumées dans un manifeste de Patrick Broders, président-fondateur du comité d'aménagement de la place, le Maire de Paris-centre Ariel Weil vient d'enjoindre par écrit et fermement aux bars-restaurants de la place de respecter les conditions imposées par la "charte COVID" qu'ils ont accepté de signer pour bénéficier des avantages qu'elle leur offrait (télécharger courrier Ariel Weil).
Ariel Weil s'appuie sur l'autorité d'Emmanuel Grégoire, Premier Adjoint d'Anne Hidalgo, en charge de l'urbanisme, d'Olivia Polski (Adjointe au commerce), Nicolas Nordman (sécurité, DPSP...) et Frédéric Lénica Directeur de cabinet de la Maire de Paris, sur les pouvoirs de Didier Lallement, Préfet de police de Paris... pour signifier aux établissements qui se sont lancés à l'assaut de la place et des rues affluentes avec leurs terrasses, l'obligation ;
Le Maire demandera "la fermeture administrative" des établissements qui ne respecteraient pas les règles de sécurité et "la suspension des autorisations des terrasses initiales" à ceux qui se signaleraient par des nuisances sonores inacceptables (NB : des capteurs BRUITPARIF sont en place pour des mesures objectives).
La lettre du Maire se termine par l'affirmation "qu'il ne lui serait pas agréable d'atteindre ce stade ultime mais qu'il ne pourra en être autrement tant que le quartier n'aura pas retrouvé une atmosphère sereine".
Les habitants de la place et du secteur ont réagi très favorablement à la lecture du courrier du Maire car il porte un coup d'arrêt à une dérive intolérable et définit les principes d'un retour à une situation normale. Il reste la crainte cependant que la place ne retrouve pas l'état qui a été le sien au moment où la mairie a imposé que les terrasses n'aillent pas au-delà des croisillons métalliques qui ont été installés pour contenir les terrasses.
Le hasard fait que ce même 4 septembre 2020 où nous recevions la copie de la lettre du Maire, les riverains par la voix de Patrick Broders s'adressaient à lui pour lui dire qu'ils "demandent un retour - sans extensions – aux autorisations de terrasses délimitées par les croix de Saint André implantées sur la place du Marché Sainte Catherine ainsi qu'une attention particulière pour les implantations des rues adjacentes".
(*) Le terme désigne un bruit discordant généré par de nombreuses personnes, du tapage ou encore du bruit accompagné de désordre (Wikipédia)
Terrasse "COVID" dans le quartier des halles (Photo VlM/ED)
Nos amis de l'ADRAQH (association pour la défense des riverains et l'animation du quartier des Halles) nous prient de diffuser le message qu'ils adressent aux autorités de Paris-centre, Maire de l'arrondissement, Directeur de la DPSP (police municipale) et Commissaire central de police :
Rue Oberkampf le soir... Les méfaits d'un déconfinement débridé. (Photo riverain)
Le propos de la Maire de Paris était louable : permettre aux bars-restaurants de refaire leurs marges perdues lors du confinement en leur offrant de l'espace public ad libitum jusqu'au 30 septembre. A une condition cependant : que ces commerçants s'engagent sur une charte et la respectent. Trop souvent, ils ne le font pas.
Le XIe arrondissement est particulièrement concerné. Le collectif de riverains du quartier Belleville/Saint-Maur, s'exprimant par la voix de son porte-parole, attendait que le sujet soit discuté en conseil de Paris. Il a été déçu et s'adresse en ces termes à Nour Durand-Raucher, Conseiller de Paris, en charge de la sécurité dans le XIe :
"Alors que deux sujets majeurs pour notre quartier étaient à l’ordre du jour du conseil de Paris des 23 et 24 juillet à savoir l’extension des terrasses éphémères et leur possible pérennisation d'une part, la gestion des mineurs étrangers d'autre part, vous n’avez pas jugé utile d’intervenir.
Personne ne l’ignore, l’extension des terrasses et la création de terrasses supplémentaires ont des conséquences dramatiques pour la santé des riverains du quartier, pour le cheminement des piétons, notamment les personnes à mobilité réduite et les malvoyants. Olivia Polski, adjointe à la Maire de Paris, elle-même, a reconnu, lors des débats en conseil de Paris, que c’était logiquement dans les quartiers où la situation était la plus difficile que la Charte était la moins respectée.
Par votre abstention, vous avez fait la démonstration d’une totale indifférence à la souffrance des habitants de notre quartier et n’avez même pas envisagé de solliciter un renforcement des contrôles ou de la médiation, ni sollicité le respect du Règlement des Terrasses et Étalages".
L'arrondissement héberge par ailleurs rue du Moulin Joly un centre d'accueil et d'évaluation des mineurs étrangers, où se déroulent plusieurs fois par semaine des scènes de refoulement des jeunes et des bagarres. Les habitants regrettent que la mairie ait décidé d'implanter ce centre dans l'arrondissement : "Ce sujet relève au premier chef de votre portefeuille et devrait retenir votre attention, a fortiori parce qu’il a pour unique origine la décision de la ville d’installer ce centre en plein cœur d’un quartier prioritaire de la politique de la ville, qui est par ailleurs le plus dense de Paris (40.000 hab/km² NDLR) et situé à proximité immédiate de logements sociaux".
Le porte-parole conclut ainsi : "Pour notre part, nous n’accepterons pas que, sous cette mandature, la descente aux enfers de notre quartier se poursuive, qu’il s’agisse des nuisances, des terrasses, du trafic de drogue ou de la prostitution qui gangrènent notre quartier et son espace public".
Terrasse chauffée rue de Birague (IVe) (Photo VlM)
Rendons grâce au Verts, leurs initiatives épousent quelques fois l'opinion majoritaire des français. Nous avons signalé dans un article du 12 décembre 2019 leur demande au conseil de Paris d'interdire les terrasses chauffées. Il est probable qu'ils l'auraient présentée à nouveau devant le conseil renouvelé mais le gouvernement prend les devants : le Conseil de défense écologique par la voix de la Ministre de la transition écologique Barbara Pompili retient deux des mesures proposées par le Convention citoyenne pour le climat, la fin des "passoires" thermiques pour les bâtiments et l'interdiction des terrasses chauffées pour les bars-restaurants.
Franceinfo rapporte ces déclarations de la Ministre : "Nous allons interdire le chauffage extérieur sur l'espace public, les terrasses" et obliger à "fermer les portes pour tous les bâtiments chauffés ou climatisés ouverts au public". Ces mesures ne seront pas mises en œuvre toutefois avant le printemps 2021, pour aider les exploitants à sortir de la crise du Covid-19.
"On ne peut pas chauffer à plein régime une terrasse en plein hiver pour le simple plaisir de boire son café en ayant chaud", a martelé la Ministre, évoquant une "aberration écologique".
On rencontre deux types d'ombrelles chauffantes actuellement : au gaz avec dégagement de CO² à effet de serre, et électriques, très "propres" localement mais servies par une électricité d'origine essentiellement nucléaire.
Rédigé à 21:16 dans Activités économiques, Actualité, Cadre de Vie, Environnement, Paysage de la rue, Politique, santé publique, Vivre Paris ! | Lien permanent | Commentaires (4)
Rue des Archives (IVe) : terrasse implantée sur des places de livraisons (Photo VlM)
Extensions de terrasses pratiquées sans discernement, date limite du 30 septembre transformée en autorisation permanente, fête de la musique et autres rassemblements autorisés sans précautions sanitaires (des milliers de fêtards rapportés par Le Parisien et BFM/TV), fermeture de rues au profits des débits de boissons, grogne populaire du côté d'Oberkampf, de la Butte aux Cailles, des Archives, de la place du Marché Ste Catherine...
Anne Hidalgo doit reprendre le contrôle des événements pour que ses décisions en faveur des commerces en péril, plutôt bien comprises a priori, ne finissent pas honnies et ne fassent pas la litière d'une reprise de l'épidémie chez nous.
Fête de la musique 2020 rue Oberkampf (XIe). De l'avis de nombreux observateurs, la fête cette année aurait dû être interdite
Dans le XIe, arrondissement où la Maire se représente, la requête des habitants auprès du Tribunal Administratif a été rejetée (notre article du 9 juin 2020) mais ils reprennent les armes contre tous ces comportements qui vont au-delà du raisonnable et rendent leur vie impossible. Leur conseil Me Aurélie Gillet-Marta, s'appuyant sur une décision récente du Conseil d’État, adresse à la Maire de Paris une lettre de demande en forme de mise en demeure (téléchargeable en cliquant ici).
Elle s'appuie sur le fait que le Tribunal considère dans son rendu du jugement que les commerçants sont tenus par le respect d'une charte de bonne conduite avec la mairie. Le bons sens commande dès lors que la mairie assure la surveillance et les contrôles des obligations qui sont mentionnés dans la charte à laquelle les commerces ont souscrit pour bénéficier des concessions exceptionnelles qui leur sont accordées. De l'avis des habitants, ces conditions sont loin d'être remplies.
Qu'il s'agisse de piétonisation de Paris-centre, de certains axes comme le canal St Martin et de mesures transitoires pour éviter le désastre financier des bars et des restaurants, Anne Hidalgo que les augures désignent comme la prochaine Maire de Paris - ou l'une de ses concurrentes si le scrutin réservait une surprise - doivent agir avec mesure et prudence. La santé des parisiens et leur qualité de vie sont en jeu et une récidive du COVID est à craindre. Le respect de l'espace public et la lutte contre les rassemblements et le bruit doivent rester une priorité.
GS
Attroupement et occupation rue des Archives et square Ste Croix de la Bretonnerie (IVe)
On jurerait à voir cette photo que l'état d'urgence sanitaire et les mesures de distanciation sont une abstraction pour certains.
Il faut savoir qu'on se trouve là de surcroît sur un secteur visé par un arrêté préfectoral qui interdit la consommation de boissons alcooliques sur l'espace public et la vente à emporter. Il fait peu de doutes pourtant que les consommateurs s'y procurent de grandes pintes de bière et qu'ils les consomment sur l'espace public...
La police laisse faire. Comment doit-on comprendre son attitude ?
De façon pragmatique. Tout comme place de la République elle n'a pas réprimé une manifestation non autorisée car les conséquences n'étaient pas maitrisables, elle considère sans doute qu'intervenir pour interdire les attroupements de la rue des Archives par des mesures de fermeture administrative soulèverait une vague de protestations qu'elle n'a simplement pas envie de gérer.
La police ne signifie pas de la sorte que la pratique est permise, ni qu'elle est tolérée, mais simplement qu'elle ne juge pas opportun d'agir.
Objectivement, pour les riverains que nous sommes, la situation est surprenante car on est tenté de croire ingénument que la loi s'applique à tous. Il ne vient par exemple à l'idée de personne qu'on pourrait ne pas payer ses impôts, car la loi nous y contraint. Elle est aussi choquante, car on constate que ces marchands de boissons privent les citoyens du droit inaliénable d'accéder à l'espace public en les obligeant à traverser la rue ou aller sur la chaussée pour se déplacer.
A la décharge de ces exploitants peu respectueux, leur activité s'exerce entre 19h00 et 23h00 seulement, il maitrisent assez bien le bruit et leurs clients ont une attitude généralement amicale à l'égard de ceux qui essayent de se frayer un chemin parmi eux...
Il ne s'agit pas de les excuser mais de dire honnêtement ce qu'il en est...
Rédigé à 20:42 dans Activités économiques, Paysage de la rue, Politique, santé publique, Sécurité, Urbanisme, PSMV, Vivre Paris !, Voirie/Déplacements | Lien permanent | Commentaires (6)